L’influence française est très présente sur le menu. Préparée avec les produits d’un terroir généreux, la cuisine y est excellente. Le classique carré d’agneau et le magret de canard sont préparés à leur meilleur. Les poissons et fruits de mer comme, par exemple, les pétoncles sur polenta et purée de fenouil sont aussi à recommander. Des desserts gourmands et les vins du vignoble sont, bien sûr, à l’honneur. Le maître d’hôtel sommelier vous guidera. Le service y est digne des grandes maisons. À une demi-heure de route, le site historique et le musée archéologique de Jamestown, près de la rivière James, vous permettra de découvrir un site unique pour comprendre les débuts de l’histoire des États-Unis. Vous devriez consacrer au moins trois heures à cette visite du premier établissement permanent des Anglais en Amérique qui a débuté en 1607 et permet notamment de connaître la véritable histoire de Pocahontas. Pocahontas, fille du Chef indiens de la tribu des Powhatans, a marié un dénommé Rolfe pour sauvegarder la paix entre les Anglais et les Powhatans. Greenwich Village, souvent simplement appelé « the Village », est l’un des districts de Manhattan, à New York, très connu et largement résidentiel. Ses limites sont Broadway à l’est, l’Hudson River à l’ouest, Houston Street au sud et la 14ème Rue au nord. Pour plus de détails sur incentive à New York visitez notre site Web. Les districts voisins sont East Village à l’est, SoHo au sud et Chelsea au nord. Au XIXème siècle, le district de Greenwich était fréquemment appelé Washington Square. Ce dernier demeure un point de repère important dans le district, mais de nos jours, les termes « The Village, » « Greenwich Village » et « West Village » sont pratiquement interchangeables. Toujours centré autour du parc de Washington Square, le cœur du district comprend l’imposant campus de NYU et MacDougal Street, renommée pour sa passionnante vie nocturne. L’ouest d’University Place renferme de nombreux bâtiments de grès brun historiques et certains des plus fameux bars et restaurants de tout New York. Les lignes passent sous la 7ème Avenue, la s’arrêtant à Christopher Street (près du pittoresque Sheridan Square) et toutes les trois desservant la 14ème Rue (un passage relie la 14ème Rue à la station de la 6ème Avenue).
Irlande, années 1950, la jeune et charmante Eilis Lacey (Saoirse Ronan) quitte sa petite ville natale et part à la découverte de New York. Elle trouve refuge à Brooklyn où elle ne tarde pas à rencontrer un séduisant immigré italien qui lui fait vite oublier le mal du pays. Jusqu’au jour où un terrible événement va faire basculer sa vie. Tiraillée par les fantômes du passé et ce nouvel avenir qui s’offre à elle, Eilis va devoir faire un choix décisif. 2Comment raconter au moyen de l’écriture cinématographique le déchirement inhérent à tout parcours migratoire ? Comment l’expérience de l’immigration transforme-t-elle profondément les individus ? 3Il n’y a plus d’avenir pour Eilis à Enniscorthy, petite ville du Nord de l’Irlande. Employée à mi-temps dans une épicerie, elle ne supporte plus la monotonie de sa vie étriquée de provinciale. Après des adieux déchirants avec sa sœur Rose, elle embarque pour le continent américain. John Crowley saisit avec habilité et justesse l’émotion de ce moment grâce à la simplicité d’un découpage efficace et à la magistrale interprétation de Saoirse Ronan. Première étape, le célèbre centre d’immigration d’Ellis Island. Grâce aux conseils avisés d’une passagère, elle passe le contrôle avec succès.
Elle décroche, se terre dans sa chambre, déprime. En février, sursaut, elle part en vacances de “dépressive” à Londres, une ville qu’elle connaît bien pour l’avoir de nombreuses fois visitée avec son père, prof d’anglais. “J’étais borderline, j’ai fait des choses que je n’aurais pas faites d’habitude, comme sortir seule le soir. Plusieurs nuits par semaine, elle se réfugie chez Madame Jojo’s, un cabaret queer. Trois travestis s’y livrent à un numéro très drôle, voyage entreprise New York qui explique comment faire du rock et de la cuisine. Héloïse y assiste religieusement, seule à une table. “Je devais faire pitié, plaisante-t-elle. Au bout de plusieurs nuits, elles sont venues me voir en me demandant si ça allait. Elles lui proposent de passer du temps ensemble. Héloïse s’installe chez l’une des trois pendant une semaine à Londres. “Elles ont un peu accouché du projet. Je leur disais mes problèmes. Elles m’ont dit qu’il y avait plein de façons différentes de faire du théâtre, en décloisonnant les choses. Si tu aimes le théâtre mais que tu n’y trouves pas ta place, alors fais-en autre chose.